Spécialités et Pratiques
Le Cabinet est réputé pour être la référence en Droit Social (Travail et Sécurité Sociale) dont c’est la première spécialisation. Pratiquement sans équivalent dans tout le Liban. Cette haute spécialisation, qui vaut des relations privilégiées avec le Ministère du Travail, le Ministère des Affaires Sociales et la Caisse Nationale de Sécurité Sociale, dont Me. Georges KADIGE a présidé durant 5 ans, de 1983 à 1988 le Conseil d’Administration, mais également avec de nombreux autres Ministères et établissements publics, ce qui lui permet de faciliter beaucoup la solution des problèmes de ses clients.
L’envergure que le Cabinet a prise, spécialement depuis la fin des années 80, à la faveur de la paix retrouvée, a fait qu’il ne pouvait plus se contenter d’une seule spécialité, ou tout au moins d’un seul domaine, dans un pays particulièrement petit de 10452 km². Ainsi a-t-il amené à consolider tous les autres domaines où il a enregistré des succès remarquables, obtenant des décisions, qui ont constitué des premières jurisprudentielles.
Cette extension, et par souci de méthodologie, et pour éviter la confusion et le désordre, a amené nécessairement à donner la responsabilité de chaque département a un avocat, sans pour autant qu’il en ait le monopole pour ne pas gêner la bonne marche du Travail et surtout la continuité et le suivi.
Ainsi, Me. Georges KADIGE, comme de bien entendu, s’est réservé le Département du Droit Social, assisté de près par Me. Michel KADIGE, qui, également diplômé de l’Ecole Supérieure des Affaires de Beyrouth – Pôle associé ESCP-EAP Paris (ESA) prenait le Département du Droit Commercial et le Droit des Affaires et celui du Droit des Médias et de l’Audio-visuel, et les autres avocats du Cabinet se répartissaient respectivement le Droit Civil, le Droit Pénal, le Droit Administratif et le Statut Personnel (très compliqué au Liban en raison de la multitude des rites et des religions, chaque rite ayant son propre Statut Personnel, reconnu et consacré par l’Etat).
L’envergure que le Cabinet a prise, spécialement depuis la fin des années 80, à la faveur de la paix retrouvée, a fait qu’il ne pouvait plus se contenter d’une seule spécialité, ou tout au moins d’un seul domaine, dans un pays particulièrement petit de 10452 km². Ainsi a-t-il amené à consolider tous les autres domaines où il a enregistré des succès remarquables, obtenant des décisions, qui ont constitué des premières jurisprudentielles.
Cette extension, et par souci de méthodologie, et pour éviter la confusion et le désordre, a amené nécessairement à donner la responsabilité de chaque département a un avocat, sans pour autant qu’il en ait le monopole pour ne pas gêner la bonne marche du Travail et surtout la continuité et le suivi.
Ainsi, Me. Georges KADIGE, comme de bien entendu, s’est réservé le Département du Droit Social, assisté de près par Me. Michel KADIGE, qui, également diplômé de l’Ecole Supérieure des Affaires de Beyrouth – Pôle associé ESCP-EAP Paris (ESA) prenait le Département du Droit Commercial et le Droit des Affaires et celui du Droit des Médias et de l’Audio-visuel, et les autres avocats du Cabinet se répartissaient respectivement le Droit Civil, le Droit Pénal, le Droit Administratif et le Statut Personnel (très compliqué au Liban en raison de la multitude des rites et des religions, chaque rite ayant son propre Statut Personnel, reconnu et consacré par l’Etat).